Mai 2024
Et toi mon cœur, quelle vie te fêle,
Quelle ardeur t’ouvre de l’intérieur,
Pour devenir, advenir à quoi ?
A quel monde plein, chaud, lisse et rond,
Dans l’infime infini de la vie ?
Et toi mon cœur, quelle vie te fêle,
Quelle ardeur t’ouvre de l’intérieur,
Pour devenir, advenir à quoi ?
A quel monde plein, chaud, lisse et rond,
Dans l’infime infini de la vie ?